Un monologue intérieur avec des tableaux musicaux, sonores et poétiques de la zone crépusculaire entre le sommeil et la veille.
Matériel original développé à partir de mon propre texte, d’une musique composé en partition, d’improvisations sur un piano à queue et d’échantillons sonores originaux méticuleusement conçus.
Le montage a été effectué dans Digital Performer avec une partie vidéo rudimentaire “ébauchée” dans Final Cut Pro.
L’intention était de remplacer l’esquisse vidéo par des images de qualité broadcast dans une phase ultérieure, mais je n’ai pas pu le faire. La partie sonore et vocale est assez complète.
‘Ça qui est perdu se ne retrouve pas, mais devient poésie’.†
(Note technique : si vous utilisez un VPN (Virtual Private Network) c’est possible que le film d’archive.org ne s’affiche pas. Déconnecte votre VPN en ce cas pour le regarder.)
(†) ‘Se’ ou ‘ce’ ? — “Ça qui s’est perdu se ne…” et “Ça qui est perdu ce ne …” a été fusionné vers : “‘Ça qui est perdu se ne retrouve pas, mais devient poésie.”